Notre environnement, et en particulier la qualité de l’air que l’on respire, sont devenus en quelques années une préoccupation majeure. Ce sujet resté longtemps cantonné entre experts s’est largement démocratisé et a intégré le quotidien des français, au point d’avoir un bulletin spécial après la page météo lors des vagues de pollution aux particules fines.
Nous passons près de 80% de notre vie en milieu fermé entre le travail et le domicile. Ces environnements souvent mal ventilés sont 5 à 8 fois plus pollués qu’en extérieur. Plusieurs initiatives, en particulier côtés industriels, ont été prises pour réduire la nocivité des produits d’intérieur (sous l’impulsion de directives européennes). Pas une peinture, moquette ni meuble qui aujourd’hui ne communique sur ses efforts réels. Mais si cela contribue à réduire l’exposition aux polluants de l’habitant, il n’en reste pas moins que la ventilation mécanique est le poumon, l’organe vital d’un logement sain. Que l’ouverture quotidienne de ses fenêtres, à la maison comme au bureau, contribue également assainir son cadre de vie.
Nos connaissances en matière de qualité d’air intérieur dans le logement ont beaucoup évolué. Des programmes scientifiques tels que COMEPOS (auquel TRECOBAT a largement contribué entre 2013 et 2020 avec le CEA) ont en effet permis de mesurer, dans des maisons expérimentales habitées et suivies par des équipes de scientifiques, les concentrations de polluants : CO2, COV…
Ils ont mis en évidence l’importance d’une ventilation mécanique et de réseaux de gaines performants, d’autant plus que depuis la réglementation thermique RT2012 les logements doivent être étanches aux entrées d’air parasites pour réduire les consommations énergétiques (en d’autres termes : finies les passoires énergétiques !). Le paradoxe est que la réglementation sur la qualité d’air intérieur n’a quant à elle pas évolué depuis … 1982 ! Epoque où les préoccupations sanitaires étaient focalisées sur les maladies chroniques liées à l’asthme, directement causées par les acariens qui se développent avec l’humidité.
Fort de ces constats et sans attendre une actualisation pourtant nécessaire de la réglementation de 1982, le groupe TRECOBAT s’est associé à des partenaires industriels innovants pour intégrer dans ses maisons individuelles des systèmes de ventilation qui ont démontré une réelle efficacité pour faire de son logement un cadre de vie sain.
Nous avons ainsi bénéficié du droit à l’expérimentation pour ventiler par insufflation (principe du scaphandre) pour chasser efficacement les polluants internes. Nous avons associé à ce système un filtre issu de technologies développées pour l’aéronautique, biocide, capable de détruire virus et bactéries. Ce même filtre qui piège les polluants chimiques : gaz issus des transports, particules fines, aérosols chimiques.
Dès fin 2021, nous serons en mesure de proposer via NESTOR, l’application du groupe TRECOBAT au service de l’habitant, un menu dédié au pilotage de sa qualité d’air intérieur. Pour nos clients adeptes de la ventilation mécanique par extraction, plus conventionnelle, nous avons introduit sur le marché français une nouvelle génération de ventilation intelligente : équipée de capteurs intégrés de CO2 et COV, elle ajuste ses débits de ventilation en fonction des besoins de renouvellement d’air. Priorité à un logement sain, sans négliger la maîtrise de ses consommations de chauffage.
Trecobat continue d’innover et va plus loin pour le bien-être des futurs habitants de ses constructions : ainsi le groupe TRECOBAT est en mesure de proposer des solutions de ventilation, connectées, pour garantir un air sain à ses clients.
